"Le 15 septembre 2009, 8 h 55, moi, Catherine Kokoszka, directrice départementale de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) de Paris, enfermée que j'étais dans le travail comme en huis clos, me jette par la fenêtre de la direction départementale, du troisième étage sur cour."
Ainsi commence le témoignage de Catherine Kokoszka, qui se considère elle même comme une miraculée. Elle est tombée de trois étages, sur un buisson. Elle n'est donc pas morte. Elle peut donc témoigner. De ce qui pour moi est l'évidence d'une bureaucratie complexe, couteuse, et folle.Si vous voulez avoir un espoir de comprendre objectivement la situation de cette femme, allez lire l'article du Monde qui vous expliquera qu'elle s'est trouvé face à des politiques administratives contradictoires.
Lire la suite sur le Journal de fanette.
samedi 28 novembre 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire